Sophie 34 ans : « Maintenant, je sais que j’ai le droit de m’aimer, d’être, d’exister dans mon intégralité. Lors de mon examen, j’étais trop contente et fière d’avoir réussi, je me suis enfin sentie mieux. Je trouve ça chouette. Je passe enfin de bons moments avec ma famille. Je prends dorénavant davantage de recul par rapport à mes collègues de travail. J’arrive à créer ma bulle, et ainsi à être moins dans l’émotion. Je me sens plus ancrée».